Depuis juin 2015, l’ancien couvent des Dominicains, rue Massol, abrite le nouveau Musée taurin de la ville. Les collections, pour la plus grande partie propriété de l’Union taurine biterroise, permettent de comprendre et de mesurer l’importance de la culture taurine à Béziers, tout en rappelant l’histoire française, mais aussi espagnole de la tauromachie dans l’univers des peintres.
La salle Francisco de Goya recèle quarante eaux-fortes de la série La tauromaquia, troisième édition réalisée à partir des originaux en 1876 à Paris par Loizelet. C’est un véritable trésor pictural permettant, tel un reportage, de voir la corrida – du campo à l’arrastre – telle qu’elle fut pratiquée en Espagne à la fin du XVIIIe et au début du XIXe siècles.
La salle Francisco de Goya recèle quarante eaux-fortes de la série La tauromaquia, troisième édition réalisée à partir des originaux en 1876 à Paris par Loizelet. C’est un véritable trésor pictural permettant, tel un reportage, de voir la corrida – du campo à l’arrastre – telle qu’elle fut pratiquée en Espagne à la fin du XVIIIe et au début du XIXe siècles.