De manière à « capter l’aléatoire jusqu’à aboutir à une écriture picturale entièrement personnelle, fondée sur des alternances rythmiques », les œuvres d’Edward Baran semblent parfois ne tenir qu’à un fil. Ses papiers « évidés » – pièces maîtresses de sa carrière – suggèrent à la fois la légèreté et la résistance, l’équilibre et la discordance. C’est en fabriquant des cerfs-volants pour son fils que l’idée lui vint de coller des couches de papier peint sur une trame de fils entremêlés. […]

Extrait de l’article de Clémence Robuchon publié dans le N°53 de la revue Art Absolument : parution le 3 mai 2013

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