Des photographies aux couleurs bariolées où les personnages portent des costumes qui semblent faire écho, de façon parodique, à des tenues de cérémonies rituelles ; une installation composée de branches d’arbre dressées à la verticale sur lesquelles sont entassés des cages à oiseaux et des fils entremêlés ; enfin, la Colonne Pascale, fragile monument composé de 22 soupières empilées les unes sur les autres : l’exposition du Camerounais Pascale Marthine Tayou tire sa force de l’hétérogénéité qui se manifeste entre les différentes œuvres, et également au sein de chacune d’entre elles.

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