Entre le support en bois et la couche de vernis transparent reflétant la silhouette du spectateur, memento mori et autres allusions à la mort se dévoilent. Sous une trentaine de couches de peinture qu’Emmanuel Barcilon gratte par endroits apparaissent des dessins, des mots, des coupures de journaux représentant des squelettes, des crânes ou des épisodes de violence. Ces vanités contemporaines renvoient à l’histoire de nos sociétés mais également à la genèse du tableau présenté.


Pauline Mirete