Jack Beng-Thi
1951 (Le Port (La Réunion))
Living in : île de la Réunion
Working in : île de la Réunion
Artist's webSite
Si l'attachement de Jack Beng-Thi à son île natale se prolonge jusque dans son usage des fibres végétales qu’elle offre – vacoa et vétiver qu’il dresse en fagots et combine à des figures en terre cuite et à du tissu et du sable comme dans Ligne bleue – Héritage (1996) –, son «?visage sur lequel se rassemblent l’Europe, l’Afrique, l’Asie?» (Simon Njami) lui a toujours rappelé que La Réunion était un point de confluences au sein d’un univers plus vaste. Né d’un père d’ascendance africaine et vietnamienne et d’une mère indienne, une première série de séjours à Madagascar, Afrique du Sud, Namibie et Cuba emmèneront Jack Beng-Thi jusqu’à la Chine en 2007, sans cesser de se préoccuper de la mémoire de la traite.
Tom Laurent
Portrait
Jack Beng-Thi dans son exposition au CAAM (Centro Atlántico de Arte Moderno), Las Palmas de Gran Canaria, 2018.
Living in : île de la Réunion
Working in : île de la Réunion
Artist's webSite
Si l'attachement de Jack Beng-Thi à son île natale se prolonge jusque dans son usage des fibres végétales qu’elle offre – vacoa et vétiver qu’il dresse en fagots et combine à des figures en terre cuite et à du tissu et du sable comme dans Ligne bleue – Héritage (1996) –, son «?visage sur lequel se rassemblent l’Europe, l’Afrique, l’Asie?» (Simon Njami) lui a toujours rappelé que La Réunion était un point de confluences au sein d’un univers plus vaste. Né d’un père d’ascendance africaine et vietnamienne et d’une mère indienne, une première série de séjours à Madagascar, Afrique du Sud, Namibie et Cuba emmèneront Jack Beng-Thi jusqu’à la Chine en 2007, sans cesser de se préoccuper de la mémoire de la traite.
Tom Laurent
Portrait
Jack Beng-Thi dans son exposition au CAAM (Centro Atlántico de Arte Moderno), Las Palmas de Gran Canaria, 2018.