Mohamed El Baz
1967 (El Ksiba)
Vit à : Casablanca, Lille
Travaille à : Casablanca, Lille
Galerie de l'artiste
Il est diplômé de l’école nationale supérieur des Beaux-arts de Paris et de l’institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques. Depuis 1993, son travail se développe sous le titre générique : “Bricoler l’incurable, détails”. Chaque projet est un fragment d’un ensemble en devenir. Les bribes de paroles, d’images, d’actions, d’objets, de textes organisent l’œuvre comme autant de parcelles du quotidien. De détails en détails, les projets s’élaborent au fur et à mesure comme en attente de rassemblement. Il élabore un réservoir de formes et d’histoires : une boîte à outils qui lui permet de poser le squelette de ses expositions. Chaque détail, dans une permutation programmée, sert à construire autre chose. L’espace d’exposition devient à chaque fois, un lieu de travail. L’artiste a conscience que l’on ne peut avoir une appréhension globale et unitaire des choses. “Bricoler l’incurable” n’est donc pas pour l’artiste un désengagement. Selon lui, déclarer un crime incurable c’est se refuser à penser le monde comme un “paradis perdu”. Il n’existe pas “d’origine pure” tombée dans la décadence mais un malentendu fondateur.
Vit à : Casablanca, Lille
Travaille à : Casablanca, Lille
Galerie de l'artiste
Il est diplômé de l’école nationale supérieur des Beaux-arts de Paris et de l’institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques. Depuis 1993, son travail se développe sous le titre générique : “Bricoler l’incurable, détails”. Chaque projet est un fragment d’un ensemble en devenir. Les bribes de paroles, d’images, d’actions, d’objets, de textes organisent l’œuvre comme autant de parcelles du quotidien. De détails en détails, les projets s’élaborent au fur et à mesure comme en attente de rassemblement. Il élabore un réservoir de formes et d’histoires : une boîte à outils qui lui permet de poser le squelette de ses expositions. Chaque détail, dans une permutation programmée, sert à construire autre chose. L’espace d’exposition devient à chaque fois, un lieu de travail. L’artiste a conscience que l’on ne peut avoir une appréhension globale et unitaire des choses. “Bricoler l’incurable” n’est donc pas pour l’artiste un désengagement. Selon lui, déclarer un crime incurable c’est se refuser à penser le monde comme un “paradis perdu”. Il n’existe pas “d’origine pure” tombée dans la décadence mais un malentendu fondateur.
Ses expositions
Carte blanche à Mahi Binebine. L'Art pour dire les droits de l'Homme
20/11/2014 - 30/12/2014(Marrakech) Musée de la Palmeraie
Le Maroc contemporain
15/10/2014 - 01/03/2015(Paris) Institut du monde arabe
Mohamed el Baz
25/03/2011 - 07/05/2011(Paris) Galerie Mitterrand
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