Entre manifestation éphémère et volonté de pérenniser le développement culturel du territoire s’étendant de Nantes à Saint-Nazaire, la 2e édition d’Estuaire inscrit clairement l’art dans le local. De cette approche délibérée, résulte une multitude d’œuvres dont beaucoup seront ou ont déjà été fixées ad vitam aeternam dans un paysage en pleine réhabilitation. D’autres ne seront visibles qu’un temps, mais toutes ont en commun d’être fortement partie liée avec l’environnement humain, historique et naturel dans lequel elles s’insèrent. Parmi les 28 propositions de cette édition, nous retrouvons le Leviathan Thot d’Ernesto Neto au musée des Beaux-arts de Nantes dans une nouvelle configuration, différente de celle où on l’avait découvert au sein du Panthéon à Paris en 2006.

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