En trois expositions cet automne à Paris, Maisons-Alfort et L’Isle-sur-la-Sorgue, avant celles du Mucem, au M.A.A.T de Lisbonne et à Maison de Balzac, Mâkhi Xenakis déploie son œuvre protéiforme, foisonnante, imprégnée depuis l’enfance de mythologie grecque et de l’azur méditerranéen en Corse, son séjour d’élection.

Extrait de l'article de Pascale Lismonde publié dans le N°115 de la revue Art Absolument.

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