Benoit Lemercier, Fragments de Métaréalité
L'exposition
Du 23 mai au 22 juin 2024, la galerie Dutko présente l’exposition personnelle de l’artiste français Benoit Lemercier intitulée Fragments de Métaréalité. Elle regroupe des sculptures en acier d’une de ses séries principales « Supercordes » mais aussi des toiles de son œuvre la plus récente : « Hénosis ». Les structures géométriques sont composées de formes souples et angulaires en monochrome noir ou blanc, pouvant être accrochées au mur ou exposées en extérieur. À travers sa production artistique pluridisciplinaire offrant des points de fuite et des perspectives à l’infini, il met en avant la partie de l’univers que nous ne percevons pas. C’est ce réel insaisissable rempli d’informations, d’ondes et d’énergies que Benoit Lemercier tente de matérialiser par la sculpture et le dessin, processus qu’il nomme la « Métaréalité ». Il affirme ainsi : « l’objet de mon travail est de donner une forme à l’invisible ».
L’artiste répartit ses œuvres en cinq séries différentes. Elles représentent, selon lui, des fragments d’un univers plus complexe que ce que nos sens nous révèlent. Il organise sa production à partir des théories scientifiques évoquant le monde de l’infiniment petit, de l’infiniment grand ou encore de la quatrième dimension spatiale. Son intérêt se porte sur ces recherches, car elles questionnent les manières de percevoir la réalité. En effet, dans le catalogue d’exposition, on y retrouve un entretien entre l’artiste et Henri-François Debailleux dans lequel ce dernier lui demande son rapport à la science : « J’ai toujours été persuadé […] que le monde qui nous entoure est beaucoup plus complexe que ce que nos sens nous permettent de percevoir […], et pour cela je me suis en effet, dès le départ adossé, mais de façon poétique, à des théories scientifiques et mathématiques pour donner corps à mes différentes séries. » , répond-il. Lorsque que le journaliste se renseigne sur comment il décrirait ses créations, Benoit Lemercier déclare : « Le sujet de mon travail est d’essayer d’apporter de l’harmonie » et cite notamment sa nouvelle série « Hénosis » dans laquelle il fusionne deux de ses œuvres pour mettre en évidence la dualité et l’unité. Cette dernière, par une composition équilibrée, cherche à représenter le point d’union entre l’infiniment grand et l’infiniment petit en regroupant « Hypercubes », un ensemble de sculptures noires et « Supercordes » en blanc, qui représentent, respectivement, les différents points de vue théorique. Ainsi, ce mélange permet de créer des acryliques sur toile avec les formes caractéristiques du travail de l’artiste sur une surface plane.
Par Lou Mariaye.
L’artiste répartit ses œuvres en cinq séries différentes. Elles représentent, selon lui, des fragments d’un univers plus complexe que ce que nos sens nous révèlent. Il organise sa production à partir des théories scientifiques évoquant le monde de l’infiniment petit, de l’infiniment grand ou encore de la quatrième dimension spatiale. Son intérêt se porte sur ces recherches, car elles questionnent les manières de percevoir la réalité. En effet, dans le catalogue d’exposition, on y retrouve un entretien entre l’artiste et Henri-François Debailleux dans lequel ce dernier lui demande son rapport à la science : « J’ai toujours été persuadé […] que le monde qui nous entoure est beaucoup plus complexe que ce que nos sens nous permettent de percevoir […], et pour cela je me suis en effet, dès le départ adossé, mais de façon poétique, à des théories scientifiques et mathématiques pour donner corps à mes différentes séries. » , répond-il. Lorsque que le journaliste se renseigne sur comment il décrirait ses créations, Benoit Lemercier déclare : « Le sujet de mon travail est d’essayer d’apporter de l’harmonie » et cite notamment sa nouvelle série « Hénosis » dans laquelle il fusionne deux de ses œuvres pour mettre en évidence la dualité et l’unité. Cette dernière, par une composition équilibrée, cherche à représenter le point d’union entre l’infiniment grand et l’infiniment petit en regroupant « Hypercubes », un ensemble de sculptures noires et « Supercordes » en blanc, qui représentent, respectivement, les différents points de vue théorique. Ainsi, ce mélange permet de créer des acryliques sur toile avec les formes caractéristiques du travail de l’artiste sur une surface plane.
Par Lou Mariaye.
Quand
23/05/2024 - 22/06/2024