Leïla Brett, Sara Dare, Jo Lewis et Marie-Julie Michel. Cabinet de curiosités #1
L'exposition
Quatuor intime à la galerie Valérie Eymeric
En ouvrant un cabinet de curiosités au sein de sa galerie lyonnaise, Valérie Eymeric souhaite donner une place à de plus jeunes artistes dans un espace qui se prête à des œuvres aux formats intimes.
« C’est l’un des artistes avec qui je travaille, Frederic Galliano, qui a eu l’idée avec Paul Trigoust, mon assistant, de transformer un espace où l’on stockait des œuvres en cabinet de curiosités », explique celle qui a ouvert sa galerie en 2014. De la taille d’une chambre, relié à celui de la galerie, Valérie Eymeric a voulu y casser les codes en le meublant en association avec une antiquaire toute proche tandis qu’elle en a confié les rênes au duo qui lui avait soumis l’idée pour l’organisation de la première exposition. C’est donc de petits formats qu’ils ont réunis, chez quatre artistes travaillant dans une proximité certaine avec leurs supports. Et si les Londoniennes Sara Dare et Jo Lewis se connaissaient auparavant, ce n’était pas le cas des Lyonnaises Leïla Brett et Marie-Julie Michel, qui convergent dans leurs préoccupations pour « le motif, la répétition de ce motif jusqu’à sa disparition » (Brett) malgré des parcours différents.
Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°101 de la revue Art Absolument.
En ouvrant un cabinet de curiosités au sein de sa galerie lyonnaise, Valérie Eymeric souhaite donner une place à de plus jeunes artistes dans un espace qui se prête à des œuvres aux formats intimes.
« C’est l’un des artistes avec qui je travaille, Frederic Galliano, qui a eu l’idée avec Paul Trigoust, mon assistant, de transformer un espace où l’on stockait des œuvres en cabinet de curiosités », explique celle qui a ouvert sa galerie en 2014. De la taille d’une chambre, relié à celui de la galerie, Valérie Eymeric a voulu y casser les codes en le meublant en association avec une antiquaire toute proche tandis qu’elle en a confié les rênes au duo qui lui avait soumis l’idée pour l’organisation de la première exposition. C’est donc de petits formats qu’ils ont réunis, chez quatre artistes travaillant dans une proximité certaine avec leurs supports. Et si les Londoniennes Sara Dare et Jo Lewis se connaissaient auparavant, ce n’était pas le cas des Lyonnaises Leïla Brett et Marie-Julie Michel, qui convergent dans leurs préoccupations pour « le motif, la répétition de ce motif jusqu’à sa disparition » (Brett) malgré des parcours différents.
Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°101 de la revue Art Absolument.
Quand
28/04/2022 - 31/07/2022