David Hockney
L'exposition
La Tate Modern initie, le Centre Pompidou emboîte le pas et le Metropolitan Museum of Art ferme la marche. Il s’agit de la rétrospective de l’Anglais David Hockney qui circulera dans les plus grosses machines muséales. « Schématique » dès les années 1960, la peinture de Hockney fait sienne l’étrange absurde de situations simples et tire des paysages des rythmes amples – « Il est impossible de se lasser de la nature », répond-il avec malice à ceux qui jugent le sujet daté. Il s’aide par la suite de la photographie pour parvenir à des vues kaléidoscopiques et des rendus hyperréalistes, jusqu’à friser la surréalité – comme en témoigne son Pool with two figures de 1972. Les années 2000 voient naître une peinture encore plus stridente, mais aussi les peintures réalisées sur iPad, avec leur palette réduite et leur liberté joueuse.
Extrait de l'article de Chris Cyrille à paraître dans le Numero 76 Mars-Avril 2017
Extrait de l'article de Chris Cyrille à paraître dans le Numero 76 Mars-Avril 2017
Quand
09/02/2017 - 29/05/2017