Le propriétaire de cette maison – qui ressemble à celle de Spirou – accrochait sur ses murs Bonnard, Lanskoy, Nicolas de Staël, Fernand Léger, Laurens. On les retrouve tous dans le monde fantasque et cultivé d’Erró. La majorité des toiles présentées couvre une période prolifique où il enchaîne, entre 1975 et 1985, les séries Léger-Comics, Tableaux chinois, Lettres d’amour japonaises et Grande Parade. Deux splendides hommages à Picasso dans le vestibule et dans la salle à manger, tandis que le salon et les chambres à coucher sont dédiés aux beaux formats sur Léger et Mao à Milan.

Extrait de l'article de Renaud Faroux dans le N°74de la revue. Parution le 16 novembre 2016.

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