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Etel Adnan

Etel Adnan : oil on canvas, 24x30cm, © DR   


L'exposition


À l’IMA, on entre dans l’exposition par l’écriture et la langue. Un tapuscrit de L’Apocalypse arabe, l’un des plus célèbres poèmes épiques d’Etel Adnan, ouvre la danse, baigné par la voix de l’artiste qui lit le texte en arabe, en anglais et en français. Les obsessions de la Franco-Libanaise, qui peint inlassablement le mont Tamalpaïs en Californie comme « sa Sainte-Victoire », font écho à sa production d’œuvres dans le milieu underground de San Francisco dans les années 1960. La peintre a également prêté pour l’occasion des œuvres qu’elle conservait à l’abri des regards, comme Le Tigre à Bagdad, petit morceau coloré de 1974, ou encore un de ses premiers leporello, réalisé en mémoire du président Kennedy.

Extrait de l'article à paraître dans le Numéro 73 , sortie le 20 septembre.

Quand


18/10/2016 - 01/01/2017

Les artistes


Etel Adnan