Jorge Camacho dans ses tours – Feu central
L'exposition
De la nuit du langage, les figures de Jorge Camacho partagent l’obscurité sans jamais s’y confondre. C’est cette irrationalité fulgurante, cette prélogique de l’image mentale chère aux surréalistes – qui ont fait de Camacho l’un des leurs à son arrivée à Paris, en 1959 – qu’oppose le peintre cosmopolite à la description du visible tel qu’il s’offre à observer. [...]
L’exposition de l’institut Cervantès concentre en son sein de très précieux tableaux du Cubain, un cabinet de curiosités rassemblant des œuvres de proches, dont Michaux, Lam, Toyen ou Matta, et un panel d’échanges épistolaires, d’ouvrages de bibliophilie, d’une grande importance dès lors que l’on comprend l’attachement qui liait Camacho à certains intellectuels de son temps.
Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°52 de la revue Art Absolument : parution le 1er mars 2013
L’exposition de l’institut Cervantès concentre en son sein de très précieux tableaux du Cubain, un cabinet de curiosités rassemblant des œuvres de proches, dont Michaux, Lam, Toyen ou Matta, et un panel d’échanges épistolaires, d’ouvrages de bibliophilie, d’une grande importance dès lors que l’on comprend l’attachement qui liait Camacho à certains intellectuels de son temps.
Extrait de l'article de Tom Laurent publié dans le N°52 de la revue Art Absolument : parution le 1er mars 2013
Quand
01/02/2013 - 22/03/2013