Vincent Quéau
Inscrit à six ans à l’École des Beaux-Arts pour remédier à une paresse instinctive tétanisant sa mère, il découvre la peinture au Louvre, deux ans plus tard, grâce au Paradis du Tintorret et à la Mort de la Vierge du Caravage (accessoirement, le rideau de scène par Chéret du Musée Grévin). Suivront un Bac A3 avec spécialisation en histoire de l’art, une licence non validée à Rennes II ; enfin, est diplômé sans gloire de l’IESA, école pour dilettantes de bonne famille. Se passionne alors pour l’art contemporain jusqu’à l’expérience d’une exposition Sophie Calle à Beaubourg. Tout juste diplômé, collabore à Marie Claire maison pour l’agenda culturel parisien. Pigiste un temps pour la Gazette de l’hôtel Drouot, Area Revue)s(, il s’agrippe enfin à Art Absolument.
N’écrit que si on l’oblige. A tenu des conférences pour le Musée de l’île-de-France. Cherche éditeur pour des ouvrages d’iconologie. Peint en rebouchant les Concetti spaziale de Fontana (œuvre des dimanches). Pas farouche pour coucher (quoiqu’il ne l’ait jamais fait utilement !) rencontre de plus en plus de difficultés à cause de l’âge. Voudrait très sérieusement, un jour, être reconnu comme femme de lettres.
-Vincent Quéau
N’écrit que si on l’oblige. A tenu des conférences pour le Musée de l’île-de-France. Cherche éditeur pour des ouvrages d’iconologie. Peint en rebouchant les Concetti spaziale de Fontana (œuvre des dimanches). Pas farouche pour coucher (quoiqu’il ne l’ait jamais fait utilement !) rencontre de plus en plus de difficultés à cause de l’âge. Voudrait très sérieusement, un jour, être reconnu comme femme de lettres.
-Vincent Quéau