Marcella Barceló
1992 (Palma de Majorque)
Vit à : Entre Paris et Majorque
Travaille à : Entre Paris et Majorque
Galerie de l'artiste
Ancienne élève de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, Marcella Barceló vit et travaille entre Paris et Majorque. Ses œuvres, dégageant
un édénisme qui peut virer à l’inquiétante étrangeté, nous embarquent dans un monde flottant, en suspens, habité par les rêves et les visions obsédantes. Diverses influences s’y décèlent, celle dominante du haïku et de l’ukiyo japonais, mais aussi les affiches de films ghanéens, le cinéma érotique ou les slashers japonais. Peuplées de jeunes filles souvent esseulées aux allures fantomatiques et figées, les compositions de Marcella Barceló,
naviguant entre un extrême dépouillement et un foisonnement tropical, sont peintes dans des tonalités intenses et féériques. De ces œuvres, qui fonctionnent un peu comme des journaux intimes visuels, l’artiste déclare : « Je m’inspire dans mes dernières peintures du haïku et de l’ukiyo japonais ; la célébration de l’évanescence des choses de ce monde, et l’idée selon laquelle la seule certitude d’un monde est son impermanence. (...)La figure
de l’adolescente est également très présente dans mes peintures, ayant beaucoup été influencée par Balthus, Lewis Carroll, Nabokov ou Laura Kasischke ; j’aime l’idée de cet âge de métamorphoses, moment
déséquilibré que j’essaie de représenter par des poses maladroites, des attitudes avachies, des états d’ennui provoqués par les moments d’inertie... »
Vit à : Entre Paris et Majorque
Travaille à : Entre Paris et Majorque
Galerie de l'artiste
Ancienne élève de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, Marcella Barceló vit et travaille entre Paris et Majorque. Ses œuvres, dégageant
un édénisme qui peut virer à l’inquiétante étrangeté, nous embarquent dans un monde flottant, en suspens, habité par les rêves et les visions obsédantes. Diverses influences s’y décèlent, celle dominante du haïku et de l’ukiyo japonais, mais aussi les affiches de films ghanéens, le cinéma érotique ou les slashers japonais. Peuplées de jeunes filles souvent esseulées aux allures fantomatiques et figées, les compositions de Marcella Barceló,
naviguant entre un extrême dépouillement et un foisonnement tropical, sont peintes dans des tonalités intenses et féériques. De ces œuvres, qui fonctionnent un peu comme des journaux intimes visuels, l’artiste déclare : « Je m’inspire dans mes dernières peintures du haïku et de l’ukiyo japonais ; la célébration de l’évanescence des choses de ce monde, et l’idée selon laquelle la seule certitude d’un monde est son impermanence. (...)La figure
de l’adolescente est également très présente dans mes peintures, ayant beaucoup été influencée par Balthus, Lewis Carroll, Nabokov ou Laura Kasischke ; j’aime l’idée de cet âge de métamorphoses, moment
déséquilibré que j’essaie de représenter par des poses maladroites, des attitudes avachies, des états d’ennui provoqués par les moments d’inertie... »