Tânia De Maya Pedrosa
1933 (Maccio)
Tania de Maya Pedrosa est née dans une famille bourgeoise du Brésil. Avocate et collectionneuse d’art populaire (en particulier d’Alagoas), elle organise en 1993 et 1994, une grande exposition d’artistes à Rio de Janeiro avec un catalogue « Arte Alagoas ». En 1994, Tania Pedrosa se décide à prendre les pinceaux en autodidacte pour représenter à son tour des personnages extraordinaires, anges, dévotions populaires, fêtes folkloriques et autres types d’expressions médiumniques. Sa peinture traduit une forte religiosité syncrétique. En 1998, elle gagne le 1er Prix de la IVe Biennale d’Art naïf du Brésil. Son tableau Dévotions populaires fera la une des médias brésiliens. Elle met en scène les individus issus de la culture populaire brésilienne, tels le Padre Cicero ou Sao Joao ou bien encore Lampi?o, bandit/justicier nordestin. L’ensemble est composé comme une broderie où se mélangent souvent tissu et peinture. En 2013, elle a fait don de sa collection, qui compte plus de 1500 pièces, à la Casa do Patrimonio à Maceu. Aujourd’hui elle poursuit simultanément sa carrière d’artiste et sa carrière d’avocate, les deux s’enrichissant réciproquement.
Tania de Maya Pedrosa est née dans une famille bourgeoise du Brésil. Avocate et collectionneuse d’art populaire (en particulier d’Alagoas), elle organise en 1993 et 1994, une grande exposition d’artistes à Rio de Janeiro avec un catalogue « Arte Alagoas ». En 1994, Tania Pedrosa se décide à prendre les pinceaux en autodidacte pour représenter à son tour des personnages extraordinaires, anges, dévotions populaires, fêtes folkloriques et autres types d’expressions médiumniques. Sa peinture traduit une forte religiosité syncrétique. En 1998, elle gagne le 1er Prix de la IVe Biennale d’Art naïf du Brésil. Son tableau Dévotions populaires fera la une des médias brésiliens. Elle met en scène les individus issus de la culture populaire brésilienne, tels le Padre Cicero ou Sao Joao ou bien encore Lampi?o, bandit/justicier nordestin. L’ensemble est composé comme une broderie où se mélangent souvent tissu et peinture. En 2013, elle a fait don de sa collection, qui compte plus de 1500 pièces, à la Casa do Patrimonio à Maceu. Aujourd’hui elle poursuit simultanément sa carrière d’artiste et sa carrière d’avocate, les deux s’enrichissant réciproquement.
