Mathieu Cherkit
1982 (Paris)
Vit à : Vallery
Travaille à : Vallery
Galerie de l'artiste
L’entrée de sa maison, l’escalier qui monte à l’étage, un coin de la cuisine, une vue du jardin, son bureau, la salle de bains, un vase de fleurs, son autoportrait… : Mathieu Cherkit emploie la peinture à dévoiler son quotidien. Celui-ci reste le prétexte à des peintures où couleurs et perspectives sont volontiers chahutées. Diplômé des Beaux-Arts de Nantes, l’artiste doit beaucoup au séjour qu’il a fait à la fin des années 2000 à la Hochschule de Leipzig en quête d’une peinture figurée, matiériste et colorée, dans la lignée de ceux qui ont animé la nouvelle école éponyme. La maison de ses grands-parents à Saint-Cloud, où il a vécu une partie de sa jeunesse, puis celle de Vallery dans l’Yonne où il a implanté son atelier, sont les motifs récurrents d’une œuvre généreuse, manifeste d’une peinture qui demeure un mode pleinement vivant et prospectif.
Portrait
©AM
Vit à : Vallery
Travaille à : Vallery
Galerie de l'artiste
L’entrée de sa maison, l’escalier qui monte à l’étage, un coin de la cuisine, une vue du jardin, son bureau, la salle de bains, un vase de fleurs, son autoportrait… : Mathieu Cherkit emploie la peinture à dévoiler son quotidien. Celui-ci reste le prétexte à des peintures où couleurs et perspectives sont volontiers chahutées. Diplômé des Beaux-Arts de Nantes, l’artiste doit beaucoup au séjour qu’il a fait à la fin des années 2000 à la Hochschule de Leipzig en quête d’une peinture figurée, matiériste et colorée, dans la lignée de ceux qui ont animé la nouvelle école éponyme. La maison de ses grands-parents à Saint-Cloud, où il a vécu une partie de sa jeunesse, puis celle de Vallery dans l’Yonne où il a implanté son atelier, sont les motifs récurrents d’une œuvre généreuse, manifeste d’une peinture qui demeure un mode pleinement vivant et prospectif.
Portrait
©AM