Peter Doig
1959 (Edimbourg (Ecosse))
Vit à : Trinidad
Travaille à : Trinidad
Mettant à distance le sujet comme la pellicule qui impressionne l’écran, Doig recouvre ses images d’une sorte de filtre, qui leur donne l’apparence de choses à la fois vues et rêvées. « Mes figures semblent disparaître quand on les approche. Plus on est près, moins on en voit. » Cherchant à représenter le mouvement même de l’œil, il lutte contre l’immobilité du plan et de la toile en usant de tous les scintillements, coulures, taches, giclures et autres textures fondantes de la peinture à l’huile. L’image inanimée s’anime alors à la façon d’une séquence de formes et de couleurs. « J’essaie d’obtenir une représentation en évolution constante, qui ne cesse de se transformer en une image différente. Car l’œil ne voit jamais une image immobile. »
Vit à : Trinidad
Travaille à : Trinidad
Mettant à distance le sujet comme la pellicule qui impressionne l’écran, Doig recouvre ses images d’une sorte de filtre, qui leur donne l’apparence de choses à la fois vues et rêvées. « Mes figures semblent disparaître quand on les approche. Plus on est près, moins on en voit. » Cherchant à représenter le mouvement même de l’œil, il lutte contre l’immobilité du plan et de la toile en usant de tous les scintillements, coulures, taches, giclures et autres textures fondantes de la peinture à l’huile. L’image inanimée s’anime alors à la façon d’une séquence de formes et de couleurs. « J’essaie d’obtenir une représentation en évolution constante, qui ne cesse de se transformer en une image différente. Car l’œil ne voit jamais une image immobile. »